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12 décembre 2005 1 12 /12 /décembre /2005 22:52

 Je t'aime....

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12 décembre 2005 1 12 /12 /décembre /2005 22:50

 

Marc,...

t'es parti...

j't'end veux pas...

Je t'aimerai toujours...

Puis de toute façon je ne peux rien y changer.....

Tu as fait ton choix aujourd'hui c'est le mien tu peux m'aider....

Oui toi tu me vois tu m'entends tu te rappelle .......

J'arrive pas à oublier le passé.......

Déjà dix ans que t'es parti 10....

Dieu que c'est long douloureux...

Mais tant pis, je ne te blâmerais pas...

Je respecte ton choix.....

Je pense à toi....

J't'oublie pas...

Je t'aime.

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12 décembre 2005 1 12 /12 /décembre /2005 19:43

 

Ce qui me fait rager c'est ces articles où on ajoute de l'inutile à la broutille, ce genre d'article et puis les gens regardent la belle photo, et le bon week end et tout ça.... Je me rends compte que quand on parle du taux bas d'alphabétisation c'est véridique... Mais qui sait lire ici????? Peut de gens savent où se trouve l'info, peut de gens savent où réside le faux du vrai, peut de gens savent où se cache l'essence même d'un texte.... une majorité ne comprend pas le but, me fil directeur de cet endroit, qu'importe je ne suis pas la pour plaire ni pour me faire à moitié comprendre par des imagés illettrés....

Et puis ce que j'aime c'est quand les commentaires fusent sur un article bidon alors qu'ils s'éteignent sur les choses les plus importantes, ce qui me fait moi...

Mais je ne suis pas la pour jugée, si vous venez y'a bien une raison....

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11 décembre 2005 7 11 /12 /décembre /2005 20:05

 

Et si la solution c'était de commencer une nouvelle vie?
Et si la solution c'était qu'il n'y ai pas de solution?
Et si tout simplement la solution était là, devant moi, me fesant signe?
Et si la solution était cachée au fond de moi?
Et si la solution était mauvaise?
Et si la solution c'était d'arrêter de chercher une solution?
Et si la solution c'était de dire "Je t'aime" au monde entier et à ma personne?
Et si la clef du mystère était enfuie dans les tréfonds de mon âme?
Et si simplement pour trouver quelquchose il suffisait d'écouter autour de soi?
Et si tout simplement il n'y avait rien à comprendre?
Et si la vie tout simplement c'était apprendre à gérer tout ceci?
Et si la vie c'était rien qu'un passage, une route qu'il faut simplement franchir?
Et si la vie n'était qu'un pont, hein Marc?
Et si mon oncle ne s'était pas sucider aurais-je le même comportement aujourdh'ui?
Et si je n'avais pas été longtemps seule, aurais-je développé ce côté si noir?
Et si je n'avais pas déménagée aurais-je été si changée, si mûre?
Et si..... On met une vie en bouteille avec des SI....

 

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11 décembre 2005 7 11 /12 /décembre /2005 14:05

J'ai passé tant de fois
De l'ombre à la lumière
J'ai planté tant de croix
Péché dans tant de rivières

Dans le train de la nuit
Qui va où, je sais pas
A New York ou à Varsovie
Peu m'importe tu vois

Je cherche encore
Un chemin, une route
Au Sud, ou vers le Nord
Je cherche encore

J'ai prié tant de fois
Qu'un jour à moi s'unissent
Ceux qui marchent avec moi
Que je ne connais pas

Dans l'envol de la nuit
Qui m'emmènes où, je sais pas
A New York ou dans ton lit
Peu m'importe tu vois

Je cherche encore
Un chemin, une route
Au Sud, ou vers le Nord
Je cherche encore...

SAEZ

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6 décembre 2005 2 06 /12 /décembre /2005 19:21
Ernesto Che Guevara
        Ernesto Che Guevara

Ernesto Rafael Guevara de la Serna est né le jeudi 14 juin 1928 à Rosario, Argentine. Il est le premier fils de l’architecte Ernesto Guevara Linch, de descendance espagnole et irlandaise de par sa mère, et de Celia de la Serna et de la Llosa, descendante d’une famille fortunée.

Ernesto ou "Teté", comme le surnommeront ses parents, a quatre frères et sœurs : Roberto, Celia, Ana María et Juan Martín.

Le couple Guevara-de la Serna, s’est marié en 1927 puis s’en est allé vivre à Puerto Caraguatay, dans la province de Misiones, où ils ont une exploitation d’herbe à mate.
Celia étant enceinte, ils décident de se rendre à Buenos Aires en bateau sur le río Paraná, pour que le bébé naisse en toute sécurité. Mais le 14 Juin 1928, le bateau doit faire une halte dans le port de Rosario, province de Santa Fe. L’accouchement de Celia se déroule plus tôt que prévu, et le bébé vient au monde dans la maternité de l’Hôpital Centenario. Ses parents le prénomment Ernesto Rafael.

A la fin de l’année 1929, la famille s’installe dans la rue Alem, quartier de San Isidro, à Buenos Aires. C’est là que naîtra le 31 décembre la sœur de Ernestito, Celia.
Le 2 Mai 1930, Ernesto qui n’a pas encore deux ans tombe malade. Il souffre de sa première crise d’asthme.

En 1931, la famille déménage dans un faubourg élégant de la capitale, rue Bustamente y Peña, où naîtra Roberto, le 18 Mai 1932.

En raison des problèmes de santé de Ernesto, la famille va changer plusieurs fois de résidence, jusqu’à ce qu’un médecin ne leur conseille de se rendre à Alta Gracia, dans la province de Córdoba. Le climat plus sec de cette région est favorable à Ernesto, et ils décident donc de louer une maison à Villa Carlos Pellegrini.
La maison de deux étages s’appelle "Villa Chiquita", et c’est là que va naître Ana María.

Les problèmes de santé de Ernesto conduisent sa mère Celia à se charger de son éducation primaire. Puis il suivra normalement les cours à l’école San Martín, puis au collège Manuel Solares.

En Mars 1942 il commence ses études secondaires au Collège National Déan Funes, à Córdoba, à environ 45 kilomètres de Alta Gracia.
La famille Guevara-de la Serna va vivre à Alta Gracia jusqu’au début de 1943, année où Ernesto fait connaissance des frères Granado et Ferrer, avec lesquels il se liera d’amitié pour très longtemps.
Au cours de l’été, ils déménagent une fois encore pour habiter une maison dans la rue Chile à Córdoba. C’est au mois de Mai que naît Juan Martín.

En 1946, la famille déménage à Buenos Aires pour aller vivre dans un appartement de la grand-mère paternelle. Quand la grand-mère, Ana Isabel, tombe gravement malade, Ernesto la veille durant 17 jours, et à sa mort, il annonce qu’il étudiera la médecine au lieu des études d’ingénieur qu’il avait envisagé.

Ernesto est jugé inapte pour le service militaire en raison de sa maladie.
En 1947 il commence ses études de médecine et montre peu d’intérêt envers la politique et les mouvements de protestations des étudiants, même si ses parents, et plus particulièrement sa mère, sont des militants anti-péronistes.
Mais à la fin de l’année il fait connaissance de Berta Gilda Infante, connue sous le nom de Tita. Elle est membre de la Jeunesse Communiste Argentine. Ils deviennent vites bons amis et Ernesto lit avec elle les textes marxistes et ils discutent de la réalité politique de l’époque.

C’est en Octobre 1950, qu’il décide de faire son premier voyage en Amérique Latine, en passant par le Chili, le Pérou et la Colombie. Il est le spectateur attentif des problèmes sociaux des pauvres de ces pays, et cite dans ses notes la phrase de José Marti : "Je veux unir mon destin à celui des pauvres du monde".

Le 29 Décembre 1951, il part avec son ami Alberto Granados à travers le continent sud-américain. Mais la moto sur laquelle ils font le voyage, une Norton 500 c.c., les lâche et ils doivent travailler, soit comme assistant médecin ou effectuant des petits boulots, pour continuer leur périple.

Ernesto revient à Buenos Aires en Août 1952 pour poursuivre ses études de Médecine.
Il reçoit le titre de Docteur en Médecine et Chirurgie le 11 Avril 1953 à l’Université de Buenos Aires.

Le 7 Juillet 1953 il part une nouvelle fois en voyage à travers l’Amérique du Sud et Centrale. Il est accompagné par Carlos Ferrer "Calica". Il observe en Bolivie les changements sociaux apportés par le Mouvement Nationaliste Révolutionnaire arrivé au pouvoir. Puis ils visitent le Pérou, l’Equateur, le Panamá et le Costa Rica, où ils font la connaissance des cubains Calixto García et Severino Rosell, qui avaient participé à l’assaut du Cuartel Moncada. Ils poursuivent le voyage et visitent le Nicaragua, le Honduras et le Salvador, pour finalement arriver au Guatemala en 1953.

Au Guatemala, le Che poursuit sn éducation politique à travers l’amitié qu’il lie avec l’économiste et exilée péruvienne d’origine indienne, Hilda Gadea Ontalia, ancien membre du Parti Apriste (APRA, Alianza Popular Revolucionaria Americana). Il se lie d’amitié également avec un groupe de révolutionnaires cubains, qui le 26 Juillet 1953 prirent part à l’assaut du Cuartel Moncada. Parmi eux se trouve Nico López, qui baptisera Ernesto du surnom de « Che ».
Il se tient au courant auprès d’eux des actions entreprises et prend la ferme décision de poursuivre la lutte dès la libération de Fidel Castro et d’autres camarades. Ernesto Che Guevara se met en contact avec le Parti Guatémaltèque du Travail et officie comme médecin dans les syndicats. Il participe activement à la politique interne du pays pour la défense du gouvernement démocratique et révolutionnaire de Jacobo Arbenz. Mais après l’invasion organisée par la CIA, Arbenz tombe en Septembre 1954.

En tant qu’argentin et en raison de sa position en faveur du gouvernement de Arbenz, Ernesto Che Guevara ne peut rester plus longtemps au Guatemala, et après avoir demander asile auprès de l’Ambassade d’Argentine, le Che décide de se rendre à Mexico, où il travaillera comme photographe et à l’Hôpital Général. Un mois plus tard il est rejoint par Hilda Gadea et Nico López.

Un jour, de visite chez María Antonia Gonzales, au Numéro 49 de la rue José Amparán, Ernesto fait connaissance de Raúl et Fidel Castro.
María Antonia est une cubaine résidant à Mexico, qui collabore efficacement avec les révolutionnaires exilés. Au cours de cette réunion, le Che reste à converser durant une dizaine d’heures avec Fidel, durant lesquelles ils échangent tout type d’opinions.
Le leader de la révolution cubaine lui explique les raisons de sa lutte contre le dictateur Batista. A la fin de cette conversation le Che fait dès lors parti du groupe.

Il se marie le 8 Août 1955 avec Hilda à Tepotzotlán, près de Mexico. Hilda est enceinte et le futur parrain est Raúl Castro. Le 15 Février 1956, naît Hilda Guevara Gadea.

Ernesto reste 57 jour dans la prison Miguel Schultz après avoir été arrêté par la police mexicaine dans la hacienda "Santa Rosa", Popocatépetl, à 35 kilomètres de la capitale, qui était le camp d’entraînement des révolutionnaires cubains qui préparaient une attaque contre Cuba, et qui étaient dirigés par le Général Alberto Bayo, un ancien colonel de l’Armée Républicaine pendant la Guerre Civile en Espagne.

Le Che a toujours caché ses activités révolutionnaires à ses parents, et il leur envoie une lettre les informant de sa situation et leur annonçant sa séparation avec Hilda.

Le Dimanche 25 Novembre 1956, de l’embouchure du río Tuxpán au Mexique, Ernesto Che Guevara s’en va avec le "Granma" avec 81 autres hommes à bord, un yacht d’une capacité de 25 personnes seulement, que Fidel Castro avait acheté à une entreprise nord américaine.
Une semaine plus tard, le Dimanche 2 Décembre, ils débarquent à Los Cayelos, à l’est de Cuba, commençant la guérilla révolutionnaire dans les montagnes de la Sierra Maestra.

Dès le début, le Che se distingue en tant que combattant de la lutte révolutionnaire à Cuba contre la tyrannie du dictateur Fulgencio Batista. Le 1er Mars 1958, est diffusée pour la première fois « Radio Rebelde », une radio créée par le Che.

A la fin du mois d’Avril 1958, Ernesto est envoyé depuis Jibaro, dans la Sierra Maestra, à la tête du commando de la 8ème Colonne vers la région centrale du pays.
Ils arrivent jusqu’à la Sierra del Escambray, province de Las Villas, où ils vont monter un camp de base.

Le Che participe avec beaucoup d’ardeur aux combats et plus particulièrement à la Bataille de Santa Clara le 1er Décembre 1958, laquelle s’avère très importante dans leur objectif principal : faire tomber la dictature et faire triompher la Révolution Cubaine.
Le 1er Janvier 1959, Cuba est libéré, et Batista part en exil.

Le 2 Janvier, Camilo Cienfuegos Gorriarán entre dans La Havane, paralysée par une grève générale. Le lendemain le Che y fait son entrée, et le Dimanche 8 Janvier, Fidel Castro entre victorieusement dans la capitale.
Les parents du Che arrivent le Lundi à Cuba, 6 ans après la dernière rencontre avec leur fils.
Le 21 Janvier, Hilda Gadea et Hildita viennent vivre à La Havane.

En égard aux services rendus à Cuba, Ernesto Che Guevara est déclaré citoyen cubain par le Conseil des Ministres le Lundi 9 Février 1959.

Au mois de Mars 1958, Ernesto avait fait la connaissance à Escambray une jeune cubaine de 22 ans, Aleida March Torres, et le 2 Juin 1959 le mariage est célébré après que le divorce fut prononcé entre le Che et Hilda Gadea le 22 Mai 1959.

Du 12 Juin au 5 Septembre, Ernesto Che Guevara est en mission pour le gouvernement cubain en Egypte, Soudan, Inde, Birmanie, Indonésie, Ceylan, Japon, Maroc, Yougoslavie et en Espagne.
Durant plusieurs années il rempli des fonctions officielles au sein du gouvernement cubain. Parmi ces différentes charges gouvernementales, militaires et économiques, il est nommé Chef des Forces Armées Révolutionnaires, Chef de l’Industrie et de la Réforme Agraire, et le 26 Novembre 1959 il occupe le poste de Président de la Banque Nationale de Cuba.

Le 4 Mars 1960, dans un attentat organisé par la CIA, le bateau belge « La Couvre », qui apportait des armes à Cuba, explose dans le port de La Havane.
Le lendemain, Alberto Korda prend la célèbre photo du Che en hommage aux victimes de l’attentat, et au cours de la cérémonie Fidel Castro prononce cette phrase qui restera dans l’histoire : "Patria o muerte. ¡Venceremos!" (La Patrie ou la mort. Nous vaincrons !).

Le Che préside de nombreuses missions officielles au nom du Gouvernement Révolutionnaire.
Du 22 Octobre au 9 Décembre, il est à la tête de la mission économique de Cuba qui est de visite en URSS, Tchécoslovaquie, RDA et République Populaire de Chine.

Le 19 Octobre 1960, Les Etats-Unis décrètent l’embargo commercial de Cuba.

Le 17 Novembre, pendant son séjour en Chine, vient au monde Aleida Guevara March, ou "Aliusha", à La Havane. C’est là également que naîtront ses autres frères.

Le 3 Janvier 1961 les Etats-Unis rompent leurs relations diplomatiques avec Cuba.
Le 23 Février 1961, le Che est nommé Ministre de l’Industrie et Membre du Conseil Central du Plan.

Le 20 Mai 1962 naît son fils,Camilo, nom qu'il lui donne en hommage à son camarade Camilo Cienfuegos, qui mourut tragiquement dans un accident aérien.

Du 17 au 20 Avril 1961, Ernesto Che Guevara occupe le commandement militaire de Pinar del Río pendant l’attaque de mercenaires sur la Plage Girón, dans la Baie des Cochons (Bahía de los Cochinos), au cours de laquelle 1500 contre révolutionnaires cubains tentent d’envahir l’île dans une opération organisée et financée par la CIA. Les révolutionnaires mettront en déroute les mercenaires en moins de 72 heures.

Le 4 Août, le Che est à la tête de la délégation cubaine lors de la Conférence des Amériques de Punta del Este en Uruguay. La délégation est reçue à l’Aéroport National de Carrasco par des milliers de personnes chantant des slogans anti-yankees et aux cris de « vive la Révolution Cubaine ».

En Octobre 1962 et jusqu’en Novembre de la même année, Ernesto occupe le commandement militaire des troupes de Pinar del Río pendant la Crise d’Octobre.

Lors de sa présence à Cuba, le Che œuvre dans de nombreuses tâches : il est l’initiateur du Travail Volontaire dans tout le pays, de l’organisation des Forces Armées Révolutionnaires (FAR) ; il est le fondateur de la revue Verde Olivo, où il écrit de nombreux articles ; il est l’auteur de différents livres et essais. Les œuvres du Che les plus connues sont : « Diario de Bolivia », « Discurso en Argel », « Discours lors de la XIXème Assemblée Générale des Nations Unies », « El cuadro, columna vertebral de la revolución », « El Socialismo y el Hombre en Cuba », « La Guerra de Guerrillas », « Mensaje a los Pueblos del mundo a través de la Tricontinental », « Pasajes de la Guerra Revolucionaria », « Reforma Universitaria y Revolución », « Sobre la construcción del Partido », « Solidaridad con Vietnam del Sur », « Táctica y Estrategia de la Revolución Latinoamericana ».

Le 14 Juin 1963 naît le quatrième enfant du Che, le troisième avec Aleida. C’est une fille qui sera appelée Celia, en hommage à sa mère.

Le 19 Mars 1964, vient au monde Omar Pérez, fruit de la relation extraconjugale que Ernesto a eu avec Lidia Rosa López.

Du 20 Mars 1964 au 13 Avril, le Che est à la tête de la délégation cubaine pendant la conférence de l’ONU pour le Commerce et le Développement à Genève, en Suisse.
Du 15 au 17 Avril, il est en visite en France, Algérie et Tchécoslovaquie.
Il visite l’URSS du 5 au 19 Novembre et participe au 47ème Anniversaire de la Révolution d’Octobre. Il préside à nouveau la délégation cubaine lors de l’Assemblée Générale de l‘ONU à New York du 9 au 17 Décembre. Puis il se rend en Algérie.

En Janvier 1965, Ernesto Che Guevara est en République de Chine, puis au Mali, Congo (Brazzaville), Guinée, Ghana, Dahomey, Tanzanie, Egypte, Algérie et revient à La Havane le 14 Mars.

Sa dernière intervention publique à Cuba a lieu le 15 Mars quand il fait un compte rendu de ses voyages à l'étranger devant ses collaborateurs de Ministère de l‘Industrie.

Afin de poursuivre plus en avant ses idéaux libertaires, il sollicite de la Direction de la Révolution Cubaine son détachement des responsabilités qui le lient à Cuba, pour reprendre la lutte armée en solidarité avec les peuples du monde.

Le 1er Avril 1965 il écrit des lettres d’adieux à ses parents, ses enfants et Fidel Castro, et s’en va pour le Congo. C’est dans ce pays qu’il apprendra la mort de sa mère.

Un an plus tard, le Jeudi 3 Novembre 1966, Ernesto Che Guevara arrive à La Paz, en passant par Madrid et Sao Paulo. Il entre clandestinement en Bolivie sous le nom de Adolfo Mena González, fonctionnaire péruvien de l’Organisation des Etats Américains et possède au cas où, un passeport uruguayen au nom de Ramón Benítez Fernández.

Le 7 Novembre il se trouve dans une hacienda de Ñancahuasú où, avec un petit groupe de combattants boliviens, cubains et autres nationalités, il fonde l’Armée de Libération Nationale de la Bolivie (Ejército de Liberación Nacional de Bolivia). Pendant son séjour en Colombie, il est connu en tant que "Comandante Ramón", et également "Fernando el sacamuelas".

Mais 11 mois plus tard, après avoir été fait prisonnier et sérieusement blessé, Ernesto Che Guevara est exécuté, le Dimanche 8 Octobre 1967 à 13h10, par des soldats boliviens dirigés par des agents de la CIA, dans la petite école du village de La Higuera, province de Chuquisaca.

Le 18 Octobre 1967, su la Place de la Révolution, Fidel Castro informe le demi million de cubains présents de la mort du Commandant Ernesto Che Guevara : « Tu as disparu physiquement, mais ton image et tes idéaux restent et resteront présents en nous, parce que ceux-là ils ne pourront jamais les tuer avec des balles ».

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6 décembre 2005 2 06 /12 /décembre /2005 19:17

MASSOUD, L'HOMME DERRIERE LA LEGENDE

Peut-être est-ce parce que la légende racontait qu'il était invisible (et invincible), que sur le terrain des résistances aux soldats soviétiques il était partout à la fois, sur tous les fronts, là où chacun avait besoin de lui... peut-être est-ce parce qu'il volait au dessus des rochers, pensaient certains, qu'il avait été choisi par Dieu... peut-être à cause de ce qu'imaginaient les faiseurs de contes à l'heure du thé où les Afghans deviennent des poètes, Ahmad Shah Massoud est encore si présent dans tous les esprits. Sa légende est néée par delà lui. Sa mort brutale, par traitrise, l'inscrit dores et déjà dans les histoires d'exception. Aujourd'hui, sa présence humaine manque cruellement à tous ceux qui l'ont vraiment connu et aimé. Tant de tristesse installée pour longtemps dans les coeurs! Vivre les événènements depuis ce 9 septembre 2001 et ceux qui se sont enchaînés depuis, après le tragique 11 septembre où périrent tant d'innocents, étrangers à l'histoire d'Afghanistan, vivre cette actualité soudainement projetée au devant de la scène du monde sans Massoud, alors qu'elle était restée si lointaine, comme cachée, ignorée de la plupart des hommes et femmes de cette planète, le vivre sans lui c'est avoir du mal à vivre tout simplement. Où est le sens de cette injustice? Je m'interroge et ne suis pas le seul. On savait bien que la mort était toujours imminente. Depuis tant d'années de guerre, on avait oublié qu'il pouvait lui aussi être victime. Massoud a traversé tant d'épreuves, comme le peuple afghan qui souffre depuis si longtemps. Alors que certains pensaient que j'avais idéalisé cet homme au point d'en faire un héros, ce que n'ont pas compris ses détracteurs c'est la valeur humaine profonde qui était la sienne. Bien sûr Massoud a commis des fautes, il a fait des erreurs, surtout à Kaboul où la complexité de la situation l'a submergé, où beaucoup de ceux qui auraient du l'aider n'ont fait que le trahir, où, autour de lui, dans son propre entourage, quantité d'hommes n'ont pensé qu'à leurs intérêts. Bien sûr l'orgueil des Panjshiris a joué un rôle néfaste dans l'écriture du scénario. La guerre a Kaboul a détruit tout espoir de paix. Les ingérences ont entretenu le feu. Massoud n'a pas voulu prendre le pouvoir. Massoud n'était pas soutenu alors qu'il méritait d'éclairer son pays de l'amour qu'il lui vouait. De ceci je suis sûr: Massoud avait appris de son expérience. Lorsqu'il est venu en France pour la première fois, c'est un homme sage que ceux qui ont bien voulu le recevoir ont trouvé devant eux. Il ne demandait pas d'armes, mais de l'aide humanitaire pour le peuple afghan et un travail politique pour faire cesser l'ingérence pakistanaise. Il parlait de paix alors qu'on l'avait trop souvent présenté comme un homme de guerre. Bien sûr qu'il était un stratège étonnant, bien sûr qu'il avait su infliger à la puissante armée soviétique des coups redoutables. Mais Massoud n'aimait pas la guerre et rêvait de paix. Il avait voulu être architecte, construire, s'instruire, voyager, lire. Il aimait la poésie et savait écouter ceux qui venaient vers lui. Il était amoureux de la vie, de sa femme, de ses enfants et de son pays libre, indépendant. Aujourd'hui, comme tous ceux qui l'ont connu et savent ce qu'il était véritablement, je suis d'une tristesse inguérissable. Je regarde, médusé, des personnes parler de Massoud alors qu'elles l'ont à peine connu, se raconter à travers sa légende qu'ils commencent à transformer. Je regarde l'humanité tourbillonner dans tous les sens sans avoir la sagesse de prendre son temps, ce que savent faire les Afghans. J'écoute quantité d'analystes surgis dont ne sait où, que je n'ai jamais rencontré sur les sentiers qui traversaient les montagnes d'Afghanistan. Ah, le monde ne changera jamais: ce sont toujours les courtisans qui se mettent au premier rang, ceux qui en savent le moins et ont la plus haute opinion d'eux-mêmes qui jouent des coudes pour se mettre en valeur en se servant des causes des autres. Je regarde effaré les machines médiatiques faire des amalgames malheureux transformant parfois la réalité en atroces mensonges... c'est ainsi. Massoud, lui, avait de la pudeur et de la discrétion. Ses paroles étaient en harmonie avec ses actes. D'une réflexion sur les erreurs du passé il avait fait une force nouvelle qui l'habitait et lui donnait sa densité. De lui j'ai aussi appris qu'il ne fallait jamais renoncer, que jamais la bataille n'était perdue tant qu'il y avait courage, conviction et bel idéal. J'ai confiance dans la force des Afghans. Massoud a semé dans les coeurs de certains des graines utiles pour faire les arbres et les fleurs des jardins de demain.

Christophe de Ponfilly*

http://www.interscoop.com

 

 

*Christophe de Ponfilly est le Réalisateur de 11 films sur l'Afghanistan, dont " Massoud l'Afghan " et des livres: Le Clandestin (Ed Robert Laffont) - Poussières de guerre (Ed Robert Laffont) - Massoud l'Afghan (Ed Le Félin/Arte édition) - Vies clandestines, nos années afghanes (Ed Florent Massot).

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6 décembre 2005 2 06 /12 /décembre /2005 18:51

Quoi j'ai l'air d'une grognasse?

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4 décembre 2005 7 04 /12 /décembre /2005 09:11

Après la pluie vient le gèle après le gèle vient le dégel et après tout ça vient la pluie... et le soleil c'est pour quand??

ahlalala je ne peux pas vous contez tout ce qui ce passe de morose en ce moment et je n'en ai pas la force c'est juste que et bien rien ne me pousse a continuer et ma famille en a pris conscience donc je suis boostée par mon entourage pour sortir de ces idées noirs et brumeuses qui flanent continuellement dans mon esprit...

Qu'il est difficile de se concentrer que les choses de prendre son temps de faire les choses les unes après les autres, mon esprit se mèle s'entremèle dans tout ce que j'ai à faire...

Comment savoir que l'on prend le bon chemin je me sens seule au milieu des fous, je ne voit n'entend plus rien. Sans le vouloir mon mental m'exclue de ce monde, on me met des claques on me parle mais rien n'y fait je me rend de plus en plus compte que le sucide de mon oncle a provoqué en moi un choc très fort. Ma vie et ma stabilité dépende de cela, dans des moments comme ceux que je vis la stabilité n'est plus assurée le penchant pour la facilité pour la mort est trop fort. Bien sur les plus optimistes diront qu'aucune personne au monde n'a les raisons de se sucider et je lui répondrais que oui, je dirais donc à tony qu'en fait je suis lâche en ce moment, tu compredras je le pense le sens de cette affirmation...

Et Saez qui m'accompagne de ses complaintes obscures et moroses, ce boulot en cours qui s'adosse sur moi , le stress de bientôt faire des choses que je ne veux pas accomplir....

Sans doute j'y est cru, je sais plus je sais plus.... Y'a la thune et la gloire... je suis bien loin de tout ceci, je ne suis qu'un pion comme un autre un peu plus chou que les autres un peu plus gaie parfois un peu plus clown en cours et de bonne humeur en train de parler avec les profs mais ceci ne reste qu'un masque. Les gens ne veulent pas savoir ce qui se passe ils ont assez avec leur soucis.

Le problème c'est que je suis le centre de tous les conflits chez moi en ce moment, et que Zio partira bientôt je le sens, le temps glisse toujours entre mes doigts, il m'est impossible de profiter de l'instant présent tant il est éphémère.....
Comment faire, dilemme? Comment rendre à ceux qu'on aime ce qu'ils ont perdu? Comment peut-on se sentir si impuissant face à la mort alors que notre vie n'est qu'une préparation à cette terminaison?

Je me régale de ces dimanches soir où une agréable boule se forme dans ma gorge et ce tête à tête avec la bassine, cela fait maintenant 3 semaines que ce mal être s'est instauré en moi....

Damien Saez, la chanson du moment qui me fait pleurer

Autour de moi les fous font la conversation
Les données du système moi, je n'y comprends rien

A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat

Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine

Naufragés dans la nuit direction la sortie


Nous tentons l'évasion comme on peut au milieu
Des mangas à la con, des crétins animés


L'infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c'est la prostitution

C'est Connard le Barbare qui gouverne l'étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie

Et la merde qu'on bouffe... au goût de paradis

On s'achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d'éphémère,
Sur l'étoile d'argent le cerveau ou la chair
Faudra choisir un camp L'obscur ou la lumière,
L'obscur ou la lumière... solitaires, solidaires

A l'arrière des cafés Au grés des verres de vin
Dans nos coeurs la beauté
Boit des coups la jeunesse
De dessous les pavés
Tu me passes le joint
Vont les grandes idées,
Dans le feu de l'ivresse
Il y a Martin et Lisa
Qui me disent "on y croit"
Dire qu'on avait des rêves...
Rappelle-toi

 Elle signifie beaucoup pour moi je me sens seule car personne ne me cerne et ne me comprend vraiment, cette solitude passera c'est un épreuve que l'on me fait penser, un chemin décisif je le sent mais la vie sera bien trop courte pour dévoiler chacune de ces facettes que l'on possède...

 

Une âme d'enfant toujours en moi, je la sent souvent lorsque mon regard se perd à l'arrière du bus pour contempler la beauté des champs enneigés, des océans de brume, des gouttes de pluie scintillant au soleil et des flocons de neiges qui pansent la plaie de mon être...

Hallelujiah..... inch'allah.... chalalalala lalala

Une mélodie raisonne dans ma tête. Je ne peux pas la capter je ne comprends pas tout ce que cel aveux dire, peut être que.... je ne peux retenir mes larmes ce soir tant la plaie qui saigne mon coeur me fait mal....

Marc, je t'aime... tu me manques je ne te blamerais pas pour ton geste tu as choisis ta mort mais je voulais te dire que tu nous manques très fort... je t'aime mon tonton chéri tu restera à jamais

Oui oui y'a bien écris Thibault dans mon alliance  en or blanc... alliance de nos âmes si tu t'égare ici sache que je t'aime très fort...

*En esperant retrouver le fil de mes idées je vous salue bien bas... A vos douces pensées mes chers.

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25 novembre 2005 5 25 /11 /novembre /2005 08:08

Je me lève ce matin voilà ce que j'aperçois... de la NEIGE! whooo dingue on est que le 25 Novembre et on se paye déjà un bon 3-4-5 cm de snow. Aujourd'hui en plus c'est ombe la neige et tombe l'appareil dentaire donc bonne nouvelle je loupe une matinée de cours en bref 2h de Français une récré avec Zio et 1h histoire + education civique juridique et sociale; tout va bien dans le meilleur des mondes.

Hier ils ont mis les sapins et aujourd'hui est venue la neige, c'est pas beau ça! hummm ça sent la luge et les boules de neige à plein nez!! hihi

Bon Week ENd les pti' loups!

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